• Nouveau site 

    http://peugeot203.wix.com/la-203-pour-les-nuls

     

    en-construction


    3 commentaires
  •  


    Présentée lors du salon de Paris de 1948, la Peugeot 203 est une voiture entièrement nouvelle. Sa ligne américanisée et sa conception moderne lui valent un succès immédiat. Economique, endurante et équipée d’un moteur increvable, la voiture acquiert de suite une excellente réputation.


    D’un point de vue technique, la 203 est la première Peugeot dotée d’une carrosserie autoportante. Quant à son moteur de conception ultra-moderne, il met en œuvre une technologie de pointe pour une voiture de grande diffusion de l’époque. Supercarré, ce quatre cylindres en ligne est coiffé d’une culasse hémisphérique en Alpax à soupapes en tête inclinées en V. Avec 42 ch pour 1290 cm3, le potentiel de cette mécanique est loin d’être exploité, le constructeur ayant limité le taux de compression dans un but de fiabilité.

    S’il ne fait pas preuve d’une grande nervosité, ce moteur offre à la voiture une honorable vitesse de pointe de 115 km/h. Au salon de 1952, la puissance passera à 45 ch grâce à un travail sur la distribution. Très raisonnable en consommation, le moteur de la 203 fera surtout preuve d’une robustesse louée de tous.

    Par contre, la boîte de vitesses à quatre rapports constitue le talon d’Achille de la Peugeot 203. Elle souffre d’une synchronisation douteuse — la première ne sera synchronisée jusqu’en février 1954 — et son mauvais étagement fait apparaître des trous entre le premier et le deuxième rapport, ainsi qu’entre le deuxième et le troisième. La quatrième n’est qu’une surmultipliée.

    les dates

    1949
    Modèle dévoilé au salon d'octobre 1948 : Barres chromées en haut des dossiers de siège AV, crosses pare chocs AV à la verticale, dans l'axe des phares, pare chocs peints avec nervure centrale chromée, cimiers sur ailes AV, trappe d'auvent sur capot moteur, pas de déflecteur aux portes AV, écusson "203 Peugeot" sur coffre AR, feu central AR dé forme oblongue, ouverture coffre AR par demi poignées extérieures. Panneaux de portes entièrement en drap, commande ', essuie glace sous planche de bord, commande réglage chauffage (avec robinet de débit sous capot moteur), volant crème clair à 4 branches, commande flèches de direction en haut du volant, tableau de bord central rectangulaire. Un seul modèle : berline luxe toit ouvrant (N3).
    Février 1949 : apparition de la berline affaires (N3Z) sans toit ouvrant, sans chauffage ouvrant, sans chauffage -dégivrage ni enjoliveurs; pas d'indicateurs de direction.
    1950
    Octobre 1949 : suppression des barres chromées en haut des dossiers sièges AV, nouveaux sièges pullmann avec bourrelets, suppression des poignées extérieures du coffre AR, ouverture du coffre AR par levier à gauche du siège conducteur, volant plus foncé, commande de changement de vitesses chromée. Trois modèles : berline luxe (N3Y), découvrante (ND3Y) et affaires (N3Z). Sur cette dernière, les sièges sont sans bourrelets.
    Mai 1950 : suppression des cimiers sur ailes AV. Sur la découvrable, garnitures des panneaux de porte mixtes, puis cuir à partir de juillet.
    Juillet 1950 : apparition de la familiale 4 portes, 6 places, avec chauffage dégivrage (F3).
    1951
    Octobre 1950 : les crosses de pare chocs ne sont plus placées à la verticale verticale et dans l'axe des phares, mais ils encadrent la plaque minéralogique AV. Accoudoirs AR réduits. Nouvelle commande de flèche de direction par une languette se trouvant horizontalement à droite du volant. Trois modèles toujours (N3Y, ND3Y et N3Z).
    Avril 1951 : nouvelle serrure extérieure de coffre AR avec écusson FC. Pare chocs de même forme et entièrement chromés, tendeur de chaîne de distribution, plaques protectrices en inox bas de marche portes AV, commande de réglage du chauffage à droite sur planche de bord.
    Mai 1951 : peinture synthétique.
    1952
    Octobre 1951 : nouvelle commande latérale de réglage des sièges AV en marche, nouveau chauffage avec robinet de fermeture et ouverture d'eau chaude sous auvent, accoudoir porte AV droite. Aux côtés des trois modèles existants; apparition du cabriolet (D3); 2 portes, 2 places; avec chauffage dégivrage et déflecteurs de portes).
    Janvier 1952 : tableau de bord même teinte que la carrosserie.
    Mars 1952 : nouveaux pare chocs bi métal entièrement plats.
    Eté 1952 : nouveau tissu rayé plus clair.
    Juillet 1952 (à partir du châssis 1.261.777) : nouvelle commande de vidange du bloc moteur.
    1953
    Octobre 1952 : grande lunette AR, nouveau tableau (le bord en demi lune sous le volant. volant à 2 branches, déflecteurs aux portes AV, commodo éclairage klaxons terminé par une boule, accoudoir central escamotable dans dossier banquette AR, suppression trappe aération capot moteur.
    Six modèles : berline luxe (N3V) à toit ouvrant ; découvrable (ND3V) ; berline affaires (N3W) sans toit ouvrant, ni chauffage dégivrage, ni enjoliveurs, ni indicateurs de direction ; cabriolet (D3V) 2 portes ; coupé tollé (P3V) 2 pontes, 2 places avec chauffage dégivrage ; limousine familiale 4 portes, 6 places, avec chauffage dégivrage (F3V).
    Décembre 1952 : suppression des deux accoudoirs latéraux AR.
    1954
    Octobre 1953 : suppression du bouchon d'essence apparent dans aile AR droite, remplacé par une trappe au même emplacement. Pare-chocs nervurés, entièrement en inox et enveloppants. Allumage automatique du plafonnier par ouverture porte conducteur: Arcs boutants sur longerons AV renforcés. Les jets d'eau suivent désormais le profil des portes AR. Toujours 6 modèles qui changent cependant de dénomination : berline luxe (N3S), affaires (N3R), découvrable (ND3S), limousine familiale (F3S); cabriolet (D3S) et coupé tôlé (P3S). Pour ce dernier, arrêt de fabrication au N° 1.362.283 (avril 1954).
    Début 1954 : nouveau tissu bleuté et cendrier dans accoudoir central AR.
    Juin 1954 : roues plus petites (155 x 380 au lieu de 155 x 400), à partir du châssis N° 7.383.533. Gros cendrier rectangulaire sur planche de bord.
    Fin juin 1954 : arrêt de l'ancienne boîte de vitesses (à partir du N° 1.387.703) et montage de la nouvelle boîte C2 avec première synchronisée à partir du N° 1.700.001.
    1955
    Septembre 1954 : dénomination 203 C pour les nouvelles berlines équipées de la boîte C2. Sièges couchettes, déflecteurs de porte AV avec condamnation de sécurité, lave glace, nouveaux feux AR Labinal avec feu central plein. Quatre modèles : berline luxe (N3P), affaires (N30), limousine familiale (F3P) et cabriolet (D3P).
    Décembre 1954 : à partir du châssis N° 1.721.811, nouvelle commande de débrayage à gauche de la boîte de vitesses et non plus dessous, au centre .
    Janvier 1955 : modification du carter d'huile, ressort AV à 7 lames (depuis le N° 1.731.035). Apparition du cabriolet grand luxe (D3N) qui s'enrichit de nouveaux accessoires.
    1956
    Octobre 1955 : apparition d'une version N3N, identique à la berline luxe, mais sans toit ouvrant, sans accoudoir central AR et reconnaissable au tissu marron rayé.
    Janvier 1956 : les moquettes ne sont plus en tissu mais plastifiées.
    Février 1956 : sur modèle N3N accoudoir central AR.
    Mars 1956 : à partir du châssis N° 1.804.000, nouveau fonctionnement à trois positions du commodo d'éclairage.
    Mai 1956 : suppression de la commande avance à main remplacée par une avance automatique. Août 1956 : arrêt de la production des limousines familiales au N° 1.516.068.
    1957
    Septembre 1956 : suppression des flèches de direction remplacées par des clignotants AV, côté et AR, avec répétiteur au tableau de bord.
    Mars 1957 : nouvelles garnitures intérieures drap simili avec légère modification de la forme des sièges.
    Avril 1957 : nouveaux enjoliveurs de roues à grands diamètres.
    Juin 1957 : nouveau rapport boîte de vitesses.
    1958
    Septembre 1957 : nouvel éclairage européen (veilleuses dans clignotants AV et non plus dans les phares).
    Octobre 1957 : nouvelle teinte (vert), démarreur solénoïde à bouton poussoir à partir du châssis N°1.857.409.
    1959
    Septembre 1958 : suppression de la tête de lion sur le capot moteur, remplacée par un écusson F.C. , pare soleil rembourré, frein à main à secteur cranté, nouvelles articulations avec blocage des dossiers couchettes sièges AV.
    Octobre 1958 : nouvelles teintes (beige ou gris)
    Février 1959 : la N3P devient N3M et la N3N devient N3L.
    Avec modifications : ventilateur débrayable, thermo eau, montre électrique, enjoliveurs de bas de caisse, tapis feutre de coffre AR, accoudoir porte AV gauche, tapis caoutchouc Av de couleur, allumage plafonnier par ouverture porte des deux portes AV, miroir de courtoisie derrière le pare-soleil droit, capots balais d'essuie-glace non plus peints mais en inox.
    1960
    Octobre 1959 : suppression de la montre électriq

    ue au tableau de bord. Arrêt de la production en février 1960 au N° 1.908.056.

     
     
     
     
     
     
     
     
     

    4 commentaires
  •  

    1847

    L’histoire commence en 1847 lorsque Jules et Emile Peugeot décident de confié à Justin Blazer « célèbre orfèvre et graveur à Montbéliard », la création d’un logo qu’ils utiliseront comme marque de fabrique pour les outils qu’ils produisent. Ce sont les deux frères qui demandent alors à Blazer de dessiner un lion qui, effectivement, est présent sur les armoiries comtoises mais qui, dans leurs esprits, représente surtout les trois qualités des outils et lames Peugeot :

    Résistance des dents : comme celle d’un Lion

    Rapidité de la coupe : comme celle d’un Lion bondissant

    Souplesse de la lame : comme l’échine d’un Lion

    Le premier Lion est dessiner pour le marquage des lames de scies et les articles en acier. Il symbolise les trois qualités des lames de scies Peugeot ; dureté des dents souplesse de la lame et vitesse de coupe. En 1850, apparaît, pour la première fois, l’image du lion sur la flèche ( Peugeot frères). Apposé d’abord sur les lames de scies, ce logo sera déposé en 1858 (le 20 novembre 1858 au Conservatoire Impérial des Arts et Métiers) et marquera, pour longtemps les outils fabriqués par la marque.

    1889

    Une année historique pour la marque avec la présentation du premier véhicule portant le nom de Peugeot : un tricycle, fruit de la collaboration de Léon Serpollet, le grand spécialiste de la vapeur, avec Armand Peugeot. Le Lion marque encore les outils et les cycles. En revanche, il est absent des premières automobiles fabriquées de 1890 à 1905. Pour marquer ses produits, Armand Peugeot fondateur de la Société des Automobiles Peugeot se contente d’un lettrage Automobile Peugeot sur les calandres de radiateur. Entre 1905 et 1915, le Lion de profile sur sa flèche est, par contre présent sur les voitures (Lion Peugeot) fabriquées par Peugeot frères.

    1910

    Suite à une fusion en 1910, entre les activités cycles et automobiles, la Société (Automobile et Cycles Peugeot) apposera simplement le lettrage PEUGEOT à l’ancienne sur ces automobiles. Sur certains modèles, des Lions (officieux) font leur apparition : le Lion  Baudichon (1923) et le Lion Marx (1925) du nom de leurs sculpteurs, sont de veritables œuvres d’art. Il faudra attendre 1933 pour qu’un Lion plus réaliste orne les capots des modèles réalisés en usines.

    1948

    le Lion héraldique fait son apparition sur la 203. il se redresse sur ses pattes arrières pour adopter une posture familière du Lion héraldique des armes de Franche Comté, berceau de l’entreprise

     

    1965

    Devenue une holding sous le nom de PEUGEOT S.A, la marque change de logo : Seul la tête du Lion animalier est reprise dans un écu triangulaire. Trois ans plus tard, la tête de Lion est encadrée dans un carré, formant un ensemble bloc-marque, comme le logotype actuel. Les calandres de nos voitures continuent à porter le Lion héraldique.

    1976

    En 1976, arrive une nouvelle structure, la holding PSA Peugeot – Citroën regroupe les deux marques, Peugeot et Citroën. Le groupe rachète ensuite Chrysler Corporation. Autant d’évènement qui sont de nature à troubler l’identité de la marque Peugeot. Pour renforcer son image, Peugeot revient à son Lion héraldique, avec un dessin épuré : c’est le Lion fil. La meilleure ambassadrice de cette nouvelle identité sera la fameuse 205, commercialisée avec succès à partir de 1983

    1998

    L’identité visuelle de Peugeot évolue encore : les pattes, remplacées sur un même plan, renforcent la puissance et l’équilibre du félin ; l’œil bleu perçant symbolise une vision à long terme de la marque. Le Lion est maintenant plein et métallisé pour coller aux valeurs de la marque (valeur sûr, dynamisme, esthétique) et s’intégrer au design de ces derniers modèles.

    2002

    Aujourd’hui baptisé ( Bleue Brand ) le logo évolue encore pour mieux refléter les ambitions de la marque Peugeot. Toujours plein de métallisé, il s’embellit de noir qui est joint au bleu pour marquer l’ombre portée du Lion. Equilibrés dans ses formes et ses proportions, le logo et la marque automobile sont désormais indissociables : l’union fait sa force.

    2010

    C'est l'heure du renouveau, présent sur les futur models de la marque, le lion se voit plus épuré avec un effet de chrome mat & brillant 

    LES VARIANTES

    les automobiles avec le fameux ecusson à la tète de lion, puis avec le lion des armes de Franche-Comté, que l'on retrouve également dans les armes du Comte de Montbéliard.
    Le dernier lion héraldique date de 1980.

    Au début , les nouvelles sociétés, des cycles et auto

    mobiles continuèrent à apposer le lion sur flèche. Mais pour mieux se personifier, chaque société adopta un graphisme particulier:

     
     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

     


    votre commentaire
  •  


    Présentée lors du salon de Paris de 1948, la Peugeot 203 est une voiture entièrement nouvelle. Sa ligne américanisée et sa conception moderne lui valent un succès immédiat. Economique, endurante et équipée d’un moteur increvable, la voiture acquiert de suite une excellente réputation.


    D’un point de vue technique, la 203 est la première Peugeot dotée d’une carrosserie autoportante. Quant à son moteur de conception ultra-moderne, il met en œuvre une technologie de pointe pour une voiture de grande diffusion de l’époque. Supercarré, ce quatre cylindres en ligne est coiffé d’une culasse hémisphérique en Alpax à soupapes en tête inclinées en V. Avec 42 ch pour 1290 cm3, le potentiel de cette mécanique est loin d’être exploité, le constructeur ayant limité le taux de compression dans un but de fiabilité.

    S’il ne fait pas preuve d’une grande nervosité, ce moteur offre à la voiture une honorable vitesse de pointe de 115 km/h. Au salon de 1952, la puissance passera à 45 ch grâce à un travail sur la distribution. Très raisonnable en consommation, le moteur de la 203 fera surtout preuve d’une robustesse louée de tous.

    Par contre, la boîte de vitesses à quatre rapports constitue le talon d’Achille de la Peugeot 203. Elle souffre d’une synchronisation douteuse — la première ne sera synchronisée jusqu’en février 1954 — et son mauvais étagement fait apparaître des trous entre le premier et le deuxième rapport, ainsi qu’entre le deuxième et le troisième. La quatrième n’est qu’une surmultipliée.

    les dates

    1949
    Modèle dévoilé au salon d'octobre 1948 : Barres chromées en haut des dossiers de siège AV, crosses pare chocs AV à la verticale, dans l'axe des phares, pare chocs peints avec nervure centrale chromée, cimiers sur ailes AV, trappe d'auvent sur capot moteur, pas de déflecteur aux portes AV, écusson "203 Peugeot" sur coffre AR, feu central AR dé forme oblongue, ouverture coffre AR par demi poignées extérieures. Panneaux de portes entièrement en drap, commande ', essuie glace sous planche de bord, commande réglage chauffage (avec robinet de débit sous capot moteur), volant crème clair à 4 branches, commande flèches de direction en haut du volant, tableau de bord central rectangulaire. Un seul modèle : berline luxe toit ouvrant (N3).
    Février 1949 : apparition de la berline affaires (N3Z) sans toit ouvrant, sans chauffage ouvrant, sans chauffage -dégivrage ni enjoliveurs; pas d'indicateurs de direction.
    1950
    Octobre 1949 : suppression des barres chromées en haut des dossiers sièges AV, nouveaux sièges pullmann avec bourrelets, suppression des poignées extérieures du coffre AR, ouverture du coffre AR par levier à gauche du siège conducteur, volant plus foncé, commande de changement de vitesses chromée. Trois modèles : berline luxe (N3Y), découvrante (ND3Y) et affaires (N3Z). Sur cette dernière, les sièges sont sans bourrelets.
    Mai 1950 : suppression des cimiers sur ailes AV. Sur la découvrable, garnitures des panneaux de porte mixtes, puis cuir à partir de juillet.
    Juillet 1950 : apparition de la familiale 4 portes, 6 places, avec chauffage dégivrage (F3).
    1951
    Octobre 1950 : les crosses de pare chocs ne sont plus placées à la verticale verticale et dans l'axe des phares, mais ils encadrent la plaque minéralogique AV. Accoudoirs AR réduits. Nouvelle commande de flèche de direction par une languette se trouvant horizontalement à droite du volant. Trois modèles toujours (N3Y, ND3Y et N3Z).
    Avril 1951 : nouvelle serrure extérieure de coffre AR avec écusson FC. Pare chocs de même forme et entièrement chromés, tendeur de chaîne de distribution, plaques protectrices en inox bas de marche portes AV, commande de réglage du chauffage à droite sur planche de bord.
    Mai 1951 : peinture synthétique.
    1952
    Octobre 1951 : nouvelle commande latérale de réglage des sièges AV en marche, nouveau chauffage avec robinet de fermeture et ouverture d'eau chaude sous auvent, accoudoir porte AV droite. Aux côtés des trois modèles existants; apparition du cabriolet (D3); 2 portes, 2 places; avec chauffage dégivrage et déflecteurs de portes).
    Janvier 1952 : tableau de bord même teinte que la carrosserie.
    Mars 1952 : nouveaux pare chocs bi métal entièrement plats.
    Eté 1952 : nouveau tissu rayé plus clair.
    Juillet 1952 (à partir du châssis 1.261.777) : nouvelle commande de vidange du bloc moteur.
    1953
    Octobre 1952 : grande lunette AR, nouveau tableau (le bord en demi lune sous le volant. volant à 2 branches, déflecteurs aux portes AV, commodo éclairage klaxons terminé par une boule, accoudoir central escamotable dans dossier banquette AR, suppression trappe aération capot moteur.
    Six modèles : berline luxe (N3V) à toit ouvrant ; découvrable (ND3V) ; berline affaires (N3W) sans toit ouvrant, ni chauffage dégivrage, ni enjoliveurs, ni indicateurs de direction ; cabriolet (D3V) 2 portes ; coupé tollé (P3V) 2 pontes, 2 places avec chauffage dégivrage ; limousine familiale 4 portes, 6 places, avec chauffage dégivrage (F3V).
    Décembre 1952 : suppression des deux accoudoirs latéraux AR.
    1954
    Octobre 1953 : suppression du bouchon d'essence apparent dans aile AR droite, remplacé par une trappe au même emplacement. Pare-chocs nervurés, entièrement en inox et enveloppants. Allumage automatique du plafonnier par ouverture porte conducteur: Arcs boutants sur longerons AV renforcés. Les jets d'eau suivent désormais le profil des portes AR. Toujours 6 modèles qui changent cependant de dénomination : berline luxe (N3S), affaires (N3R), découvrable (ND3S), limousine familiale (F3S); cabriolet (D3S) et coupé tôlé (P3S). Pour ce dernier, arrêt de fabrication au N° 1.362.283 (avril 1954).
    Début 1954 : nouveau tissu bleuté et cendrier dans accoudoir central AR.
    Juin 1954 : roues plus petites (155 x 380 au lieu de 155 x 400), à partir du châssis N° 7.383.533. Gros cendrier rectangulaire sur planche de bord.
    Fin juin 1954 : arrêt de l'ancienne boîte de vitesses (à partir du N° 1.387.703) et montage de la nouvelle boîte C2 avec première synchronisée à partir du N° 1.700.001.
    1955
    Septembre 1954 : dénomination 203 C pour les nouvelles berlines équipées de la boîte C2. Sièges couchettes, déflecteurs de porte AV avec condamnation de sécurité, lave glace, nouveaux feux AR Labinal avec feu central plein. Quatre modèles : berline luxe (N3P), affaires (N30), limousine familiale (F3P) et cabriolet (D3P).
    Décembre 1954 : à partir du châssis N° 1.721.811, nouvelle commande de débrayage à gauche de la boîte de vitesses et non plus dessous, au centre .
    Janvier 1955 : modification du carter d'huile, ressort AV à 7 lames (depuis le N° 1.731.035). Apparition du cabriolet grand luxe (D3N) qui s'enrichit de nouveaux accessoires.
    1956
    Octobre 1955 : apparition d'une version N3N, identique à la berline luxe, mais sans toit ouvrant, sans accoudoir central AR et reconnaissable au tissu marron rayé.
    Janvier 1956 : les moquettes ne sont plus en tissu mais plastifiées.
    Février 1956 : sur modèle N3N accoudoir central AR.
    Mars 1956 : à partir du châssis N° 1.804.000, nouveau fonctionnement à trois positions du commodo d'éclairage.
    Mai 1956 : suppression de la commande avance à main remplacée par une avance automatique. Août 1956 : arrêt de la production des limousines familiales au N° 1.516.068.
    1957
    Septembre 1956 : suppression des flèches de direction remplacées par des clignotants AV, côté et AR, avec répétiteur au tableau de bord.
    Mars 1957 : nouvelles garnitures intérieures drap simili avec légère modification de la forme des sièges.
    Avril 1957 : nouveaux enjoliveurs de roues à grands diamètres.
    Juin 1957 : nouveau rapport boîte de vitesses.
    1958
    Septembre 1957 : nouvel éclairage européen (veilleuses dans clignotants AV et non plus dans les phares).
    Octobre 1957 : nouvelle teinte (vert), démarreur solénoïde à bouton poussoir à partir du châssis N°1.857.409.
    1959
    Septembre 1958 : suppression de la tête de lion sur le capot moteur, remplacée par un écusson F.C. , pare soleil rembourré, frein à main à secteur cranté, nouvelles articulations avec blocage des dossiers couchettes sièges AV.
    Octobre 1958 : nouvelles teintes (beige ou gris)
    Février 1959 : la N3P devient N3M et la N3N devient N3L.
    Avec modifications : ventilateur débrayable, thermo eau, montre électrique, enjoliveurs de bas de caisse, tapis feutre de coffre AR, accoudoir porte AV gauche, tapis caoutchouc Av de couleur, allumage plafonnier par ouverture porte des deux portes AV, miroir de courtoisie derrière le pare-soleil droit, capots balais d'essuie-glace non plus peints mais en inox.
    1960
    Octobre 1959 : suppression de la montre électriq

    ue au tableau de bord. Arrêt de la production en février 1960 au N° 1.908.056.

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    votre commentaire